Impressions de l’assainissement des canaux et de la prévention des risques de chute
Les travaux de rénovation de l'asphalte réalisés dans les années 1997 - 2002 ont dû être renouvelés en raison de cloques sur les trottoirs et les voies de transport
Les canaux praticables avaient été étanchéifiés entre 1997 et 2002 par de l’asphalte coulé, au moment de l’assainissement de l’installation. Ces dix dernières années, de plus en plus de bulles apparaissaient sur les chemins et les voies de transport, rendant ainsi tous travaux dans de bonnes conditions de sécurité impossibles. L’analyse de l’origine du sinistre a fait ressortir que l’asphalte coulé n’était pas une bonne solution technique et que les infiltrations d’eau multipliaient la formation de bulles.
En septembre 2017, le conseil d’administration a validé l’assainissement des canaux.
La solution consistait à retirer l’asphalte coulé et son revêtement étanche, pour installer un revêtement en béton. Les chemins et les voies de transport des canaux praticables ont donc été assainis pour pouvoir travailler sans danger et éviter tout risque de chute pendant les visites des installations.
Déroulement du projet
Les travaux de retrait de l’asphalte coulé ont commencé le 14.02.2018, conformément au calendrier du chantier. Ce dernier a été respecté jusqu’à fin avril 2018, pour les étapes de retrait et de travaux préparatoires. Ensuite, la mise au jour de fissures liées à un affaissement de la construction en béton, qui n’ont pu être détectées qu’une fois l’asphalte retiré, ainsi que l’état des bordures en béton le long des bassins de décantation, ont nécessité des travaux supplémentaires. Le temps en partie pluvieux a également contribué au retard d’environ six semaines qu’ont pris les travaux, qui n’ont donc pris fin qu’à la mi-juillet 2018. Enfin, des changements de couleur du revêtement, l’irrégularité partielle des structures de surface et des fissures capillaires dans la garniture ont de nouveau entraîné de longues et fastidieuses clarifications avec les fournisseurs de matériaux et l’entreprise de construction. Le chantier n’a donc été achevé qu’à l’automne 2019, avec un an de retard sur le calendrier initial.
